Salvors économise 2.3 millions de tonnes de pollution

Les remorqueurs de remorquage d'urgence et les entreprises de sauvetage ont sauvé 214 navires du danger et empêché la pollution dans le monde, selon Côte d'Azur.

Le transport maritime a amélioré son bilan de sécurité avec moins d'échouages ​​de navires et de navires en péril, mais l'industrie ne devrait pas devenir complaisante dans son besoin d'assistants.

Moins de navires rencontrent des problèmes pendant les voyages et les amarrages, causant moins de pollution et mettant moins de vies en danger. Ces tendances sont soulignées par les dernières données de l'International Salvage Union (ISU) sur le volume de pollution potentielle évitée de l'environnement grâce à une réponse d'urgence rapide en 2019.

Les membres de l'ISU ont entretenu 214 navires en 2019, contre 224 en 2018 et 252 navires en 2017. Cela représente une baisse de 15 % des services de sauvetage en deux ans, mais est similaire au nombre de navires assistés (216) en 2016.

Les actions de l'ISU ont empêché 2.3 millions de tonnes de polluants potentiels provenant de 214 navires de pénétrer dans l'environnement en 2019. Il s'agit d'une réduction de 32 % des polluants potentiels, par rapport à 3.4 millions de tonnes en 2017 et à 3.2 millions de tonnes en 2018. C'est également inférieur à 2.7M de tonnes en 2016, selon Côte d'Azur.

Ces données proviennent des résultats de l'enquête annuelle de prévention de la pollution de l'ISU pour les opérations en 2019.

L'ISU a souligné que moins de pétroliers ont rencontré des problèmes en 2019 par rapport à 2018, ce qui explique en partie la réduction de la pollution potentielle en 2019. Un ou deux très gros cas de transport de brut peuvent avoir un impact significatif sur les chiffres globaux. La prévention de la pollution par le pétrole brut par les opérations de récupération en 2019 était de 400,000 978,000 tonnes, contre 2018 XNUMX tonnes en XNUMX.

Le président de l'ISU, Richard Janssen, déclare que le risque de pollution plus faible est bon pour le transport maritime, mais met en garde contre la complaisance car il y aura toujours des risques et fait appel aux services d'assistance.

« Les membres de l'ISU fournissent des services qui sauvent des vies et des biens, mais, comme le montrent clairement les résultats de cette enquête, les opérations de nos membres protègent également l'environnement contre de graves dommages », déclare M. Janssen.

« Les chiffres, comparés aux autres années, montrent également la variabilité de notre industrie », commente-t-il.

En 2019, environ 43 %, soit 961,061 743,100 tonnes de pollution potentielle, ont été classés comme cargaisons polluantes/dangereuses en vrac, contre 2018 1.4 tonnes en 2017 et en baisse par rapport à XNUMX million de tonnes en XNUMX.

Cette catégorie comprend des produits tels que les céréales, le charbon, la ferraille, le soja et le ciment. Plusieurs cargaisons en vrac ne sont pas incluses comme polluants potentiels. Les membres de l'ISU ont également fourni des services aux vraquiers transportant 229,731 2019 tonnes de vrac sec non dangereux, principalement des minerais métalliques, en 497,973, contre 2018 XNUMX tonnes en XNUMX.

Le volume des cargaisons de produits pétroliers raffinés épargnés de la pollution a baissé en 2019 à 278,046 324,988 tonnes contre 2018 XNUMX tonnes en XNUMX.

« Nous sommes toujours transparents avec ces chiffres », déclare M. Janssen. "Nous savons que tous ces polluants potentiels ne risquaient pas d'aller dans la mer."

Certains cas auront présenté un danger limité, mais « beaucoup d'autres auront entraîné un risque réel de dommages environnementaux substantiels », explique M. Janssen.

Notant l'importance croissante de la prévention de la pollution dans les opérations de récupération, il déclare : « Les attitudes envers le monde naturel ont radicalement changé ces dernières années et l'environnement est désormais au centre des décisions politiques et commerciales.

« Il est essentiel qu'il continue d'y avoir une fourniture mondiale de services de sauvetage experts pour répondre aux urgences maritimes. Dans la plupart des cas, ce ne sont que les sauveteurs professionnels, membres de l'ISU, qui ont l'expérience et l'équipement pour effectuer ces interventions et prévenir les catastrophes environnementales. 

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